Le chêne pubescent
Parce que ses feuilles, leurs pédoncules, ses rameaux de l’année sont poilus, son nom latin est Quercus pubescens.
Ses poils blancs entraînant cette couleur, pour les Provençaux, c’est le « chêne blanc » et, sait-on pourquoi ?, pour les Gascons, c’est le « chêne… noir »...
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Images de quelques mois avec des chevreuils du Pays d’en haut
J’espère que quelques photos – prises entre mai 2024 et février 2025 - vont suffire pour suivre un peu de la vie de chevreuils durant cette période. Ils vivent dans les alentours du bois de Gabor. Les adultes sont sédentaires et comme les jeunes suivent leurs mères durant 1 an, ce sont les mêmes animaux que l’on peut voir.
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Une fasciation chez un cormier
Sur un cormier planté il y a environ 15 ans, je regardais les bourgeons pour voir si l’hiver encore assez doux n’avait pas commencé à avoir un effet sur un tout début de débourrement très précoce. Rien mais, surprise ! Des rameaux soudés par quatre et, à leur extrémité, un groupe de bourgeons en dense bouquet.
Envoi de la photo jointe au spécialiste du développement des végétaux et membre du groupe national « cormier ». Réponse par retour : c’est une « fasciation ».
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La mue de l'Empuse - D'un diablotin à une empuse, 2 heures de mue
Suite de la toute première chronique
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Une couleuvre verte et jaune durant l'hiver 2022-2023
La chronique n°7 vous montrait comment une couleuvre verte et jaune chassait un lézard vert. La chronique n°12 racontait un peu de la vie de ce splendide reptile. Voici la suite !
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La fabrication d'une Tourterelle turque, mode d'emploi !
Ingrédients : Une tourterelle femelle, une tourterelle mâle, de nombreux petits bouts de branches, une fourche d'arbuste, de la patience .....
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Papillons sans lavandes dans un jardin du Pays d'en Haut
Si les lavandes attirent les papillons, d'autres fleurs du jardin de Marie-Thé leur permettent de se régaler aussi. En voici quelques uns ...
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Quelques papillons diurnes du bois de Gabor
Les chasseurs de papillons ne vont guère en forêt pour en admirer, il n'y a pas assez de fleurs. Le bois de Gabor est une petite exception en deux de ses sites ...
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Hiver & printemps 2021 : un brocard du pays d'en haut
Nous avons suivi quelques chevreuils au printemps 2020. Ils faisaient partie d'une harde de cinq. Durant l'hiver, la petite troupe est toujours là ...
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Isard d'automne
Pour changer un peu de la faune du Pays d'en haut, pourquoi pas une chronique sur les isards ? Alors sortons des sentiers de Lugan ou de Garrigues pour en suivre un ....
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Chronique n°14
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Lavande et papillons (2)
Ci contre l ' Argus bleu
Chronique n°13
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Lavande et papillons
Ci contre Le Petit nacré
Chronique n°12
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°11
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°10
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°9
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°8
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°7
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Dans la jungle de mon jardin...
Chronique n°5
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Chronique n°3
Le livre de ma jungle
de Michel Bartoli
Petit aperçu en images, en histoires, des observations faites de la mi mars à la mi avril dans quelques jardins et parfois beaucoup plus loin, à un kilomètre du seuil de la porte !
Le livre de ma jungle n°2
Michel Bartoli
Le pic vert : un curieux oiseau curieux
Durant l’hiver, un pic vert vient tous les jours dans notre jardin du Pays d’en Haut pour se restaurer et
se faire photographier. Il est le spécialiste des fourmis
donc des fourmilières et sait où elles peuvent se trouver
alors que, nous, nous ne voyons que celles installées
dans des accumulations d’aiguilles de pin.
Il y a des fourmilières enterrées et d’autres dans des
fentes de mur… Il faut donc tout visiter ! Ce n’est pas
de la curiosité désintéressée.
Et si le pic trouve une fourmilière dans la pelouse, il
creuse et, avec sa langue râpeuse et collante, slurp…
Le livre de ma jungle n°1
Michel Bartoli
A la fin de l’été, sortant de son œuf, un tout petit « diablotin », le bien nommé, monte vite se poster vers le haut de quelques végétaux pour chasser à l’affût.
C’est le stade jeune d’une empuse (Empusa pennata), cousine des mantes religieuses.
C’est l’époque où volent de nombreux insectes capturés au vol par les deux pattes avant épineuses qui se
referment en 1/1000ème de seconde sur la proie. L’empuse grandit vite et mue pour disposer d’une peau plus grande. Mue qui reste dans la végétation.
Aucune modification des milieux n'est anodine pour la faune et la flore, qu'elle affecte le jardin, l'abord du village ou les zones cultivées. Dpuis trois ans, plusieurs dizaines d'hectares de cultures céréalières sont cultivées en bio sur les communes de Lugan et de Garrigues en plus de celles beaucoup plus anciennes du plateau de St Sulpice.
Et bien voilà, nous y sommes, novembre nous fait entrer dans cette période automnale qui s’est faite attendre. Chaque jour va maintenant habiller les feuillages d’une nouvelle robe jusqu’à mettre à nu les silhouettes branchues pour un hiver, froid ? pluvieux? doux ? nous verrons bien. En attendant, profitons des moments de douces lumières et allons voir du côté de nos sentiers dans quelle nouvelle ambiance, sous quelles couleurs nous cheminerons. Départ pour le sentier du Laragou depuis Sénil....
L’automne s’avance doucement, les premières couleurs chaudes du feuillage apparaissent et les migrateurs en transit sur nos terres se font plus rares. Pourtant, la chaleur de ce mois d’octobre active encore la petite faune des insectes, les bandes de passereaux piaillent dans les haies, les chevêches chantent au petit matin et à la tombée du jour.
Départ pour la boucle du sentier de Bois Revel et quelques observations …
Le sentier du Laragou nous mène du lieu dit Sénil jusqu’à l’amont du lac par un chemin bien ombragé sur la première moitié du parcours. Qu’avons-nous rencontré cette matinée du 3 août ?
Des petits panneaux posés par des bénévoles y indiquent les noms d’arbres, arbustes, et plantes communes de ce milieu. Tamier d’Europe, Clématite des haies, Houblon profitent cette année des pluies du printemps et de juillet pour s’élancer vigoureusement à l’assaut des cimes en embrassant les troncs et branchages de leurs lianes.
Circaète Jean le Blanc
Aucune modification des milieux n'est anodine pour la faune et la flore, qu'elle affecte le jardin, l'abord du village ou les zones cultivées. Dpuis trois ans, plusieurs dizaines d'hectares de cultures céréalières sont cultivées en bio sur les communes de Lugan et de Garrigues en plus de celles beaucoup plus anciennes du plateau de St Sulpice.